Hébus vs The Rock

Les défis de ce match seront postés ici.
N'hesitez pas à consulter les règles en cas de doutes, ou à me contacter moi ou IRS. Il serait dommage que nous ayons des lutteurs qui ne font aucun défi, cela sera trés mal vu.

Rappel : Défis interdits le Dimanche si aucun défi n'a été effectué la semaine. Fin des défis Dimanche 20H00

La scène se passe pendant un house-show de la MDWF, à San Diego, California. Le main-event éminnemment « intéressant », opposant le Canadian Bulldozer, Alphone Danletah au patibulaire « Misfit in Outfit », James Patagueule, s'annonce d'un ennui mortel quand une musique retentit violemment dans l'arena.

« Welcome to the jungle ! »
Le tube des Gun'n'roses retentit dans la salle, réveillant le public jusqu'ici plongé dans une léthargie semblable à celle d'un Inspecteur Derrick des grands jours. La procession est à priori habituelle, à un détail près: Hébus a toujours sa démarche « unique en son genre » et un regard traduisant clairement l'envie de taper sur quelque chose qui fasse « ouille » mais Estrada, lui, n'a pas son air de The Mask version latino. Il est au contraire calme, la mine renfermée et s'avance vers le ring de façon solenelle en tenant devant lui une couronne mortuaire. Les deux lutteurs auraient bien été tentés de leur dire ce qu'ils pensent de ces manières de taper l'incruste dans leur match de cette façon, mais deux détails leur revirent à l'esprit: premièrement, le gusse poilu est quand même le Million Dollar Champion, et deuxièmement, ils n'ont pas encore souscrit à une bonne mutuelle. La décision est prise: ils feront part de leurs doléances depuis l'Univers d'à côté.

Estrada s'apprête alors à prendre le micro, attachant la couronne à un recoin du ring (pas celui où se trouve Hébus, on ne sait jamais, des fois qu'il n'ait pas soudainement un petit creux).

Buenos dias, senores e senoritas ! Ca roupille dans cette salle, il était grande tiempo que les deux talents les plus imponentes de la Million Dollar Wrestling Federacion fassent honneur à leur compagnie et intervienne tavant que les house-shows ne deviennent un gala de caridad por les maisons de retraite et les habitantes du 3eme âge de San Diego, California !
Por todos ceux qui assisteraient à leur premier show de la MDWF, de la part d'el Roster de cette grande federacion, nos excuses por la mediocridad de ce qui vous a été proposé, ainsi que les presentaciones d'usage !

Mon nom es




Pas de doute: tout le monde sait qui c'est désormais. A en croire la réaction de la foule, El natural a depuis son titre une popularité qui ne se dément pas. Pas forcément que les fans voient en lui leur nouveau Ivanhoé, chevalier preux défenseur de la veuve et de l'orphelin, loin de là, surtout en compagnie de son manager, mais il reste celui qui a privé le Silence Sampler, l'ennemi par excellence, du titre suprême (le titre, hein, pas le lutteur !): et comme dit le dicton, « faute de grives, on mange des merles ».
Estrada, comme plus à son habitude, profite de ce bain de popularité. Mais se doit de l'interrompre d'un geste.

Muchas gracias, les simplones, ma l'heure n'est pas à la fiesta.
L'heure est à la solidaridad, au recueillement: me, Armando Alejandro Estrrrada, ne suis en effet pas venido por amuser la galerie. L'historia que je me dois de vous compartir est en effet un historia triste, c'est une tragédie humana, le récit dramático d'un hombre ayant tout tenté por être en haut de l'affiche où il estimait que là était sa vraie place ma qui en dépit de ses esfuerzos ne put stopper sa dégringolade, définissant à lui solo le palabra ingles suivant : déchéance !
Ce luchador, o al menos se nommant come tel, qui par la suite des cosas se trouve être l'adversario de mon cliente por el prochain Payback, avec pas meno que sa cinturon en jeu, Dwayne Johnson...



Estrada fait alors des signes à l'équipe technique: la lumière baisse subitement en intensité, voulant instaurer une atmosphère de recueillement.
Afin de planter le décor, une musique se fait entendre: triste, mélancolique, un brin nostalgique peut-être, à elle seule elle pourrait résumer l'atmosphère de ce qui va suivre, véritable « hommage » à un homme qui, comme dans la chanson, se « voyait déjà en haut de l'affiche ».




The Rock, o como passer de la luz à l'ombre, et s'y enfermer definitivamente après avoir combattu et perdu face à celui qui est passé de l'ombre à la luz. Débutant à la WWF/WWE en 1996, il fit la carrera de luchador que l'on sait dans la federacion que l'on sait avec el éxito... que l'on sait.
De même, profitant de la notoriedad qu'il a acquis dans ce premier parcours profesional, Rocky eut une certaine inteligencia à saber interrompre sa carrera sportive à tiempo por se recycler dans el cinema où, sans avoir de réels talentos d'acteur, il montra qu'il sabía porter un film sur ses épaules. Il en profita por se faire une lugar dans ce mundo si, como si dice in Ingles... »exotique » où l'on doit s'afficher avec des blondasses ayant el QI d'une machine à laver, comprar des objets dorés d'un gusto plus que douteux et figurer dans des seras d'un mortel ennui où le sommet de la conversación est de décrire el superbe interior de sa villa à Saint Trop': la jet-set.
Inutile de s'attarder sur cette carrera filmesque et post-filmesque, lui-même se fera d'ailleurs un placer de nous la rappeler en long, en large et, sobre todo, en travers. C'est après que ça nous intéresse !

Petite pause. Estrada commence à esquisser un sourire en coin: c'est là que la « fête » commence...


El Verdad Rocky comience lors d'une de ces merveilleuses seras disco-paillettes où l'un de ses amigos, cousin alejado de Teddy Long, tente de se venger après un pari estupido qui l'a obligé de viajar en trimballant des serpientes dans l'avion. El « t'es pas cap » est previsible, ma qu'importe: Rocky, t'es pas cap de refaire de la lucha come dans ta lointaine juventud !
La federacion de senor McMahon ayant fini par sombrer, il s'orienta alors dans la plus potente federacion qui existe: la MDWF. Dirigée par un antiguo de la Vinny Mac's Band, Billionaire Ted, il pensait que le système serait similar. Come l'aurait dit son pote Schwarzie dans « Last Action Hero », monumentale erreur ! A la WWE, on élève des « gueules », à la MDWF, on recrute des luchadors !

Dans le public, on peut alors lire la pancarte faite main d'un fan :

Citation :

Wicked
Weirdos'
Establishment

Ce n'étaient pourtant pas les ejemplos qui manquaient pour le prévenir !
HHH ? Michaels ? The Undertaker ? John Cena ? O Batista, qui ne peut même plus se gratter les aisselles sans se faire un claquage ? Ai-je realmente besoin de rappeler leur esplendido parcours dans cette federacion ou ce sera todo, gracias, vous prendrez l'adición ?

Vieille technique de speech made in TNA: faites du bashing anti-Vinny Mac, c'est la cheap pop assurée !
Comment ça, « je suis chiant avec mes commentaires » ? Je vous zute ! C'est MON défi, j'écris c'que j'veux, d'abord !

Por supuesto, je vois d'ici ce qu'il va responder: The Rock is not a noname, The Rock is The Rock... Si, si si, The Rock a eu pendant un premier tiempo pleine conciencia de ses capacidades en solo, come l'attestent ses esplendidas performances contro Lance Storm, aka el luchador el plus « boring » de ce business o un perfecto inconnu, como si llamaba... Methodcrotal je crois, il a eu la inteligencia de se faire une lugar dans el gang le plus potente à l'époque: el Silence Sampler, et de gagner el solo titulo où l'on peut en toute legalidad se faire mâcher le travail par une bonne âme: el Tag Team Championship. Qu'importe si el sous-fifre est un marginal qui por attirer l'atención s'est fait greffer un Bonzaï sur la cabeza: du reste, en voyant la color du feuillage, il ne doit pas y avoir grande cosa en-dessous por le nourrir o le faire prender racine...Du momento qu'il soit là por prender les coups à sa place et laisser intact son Brushing. Le duo avait funcionado et Rocky continuait à nager dans sa bulle, c'était la parte fundamental. Hélas, faisant un reino à la René Dupree, ne se battant qu'occasionnellement et contro des challengers de troisème zone, il se surestima una vez más lorsqu'il lui vint des idées de grandeurs.
Notamment la conquista du Million Dollar Championship !

A l'évocation de ces derniers évènements, les sifflets montent comme un seul homme dans le public.

h ça, il y croyait, el gringo, à sa chance de gagner la cinturon suprema. Il eut sa calificación apportée sur un meseta d'argent, ça ne l'empechait pas de crecer en ses chances et de tout donner. Il montra alors toute l'amplitude de son talento, ma surtout ses limites !
Rocky est en fait un, como si dice in Ingles... un « amuseur public ». Un hombre faisant de l'étalage, une sorte de Doink versión « strass et paillettes », ma dans la totale incapacidad de se renouveler. Et dont les aptitudes limitadas peuvent faire ilusión sur les bambinos boutonneux de la New Age of Bozos o les fonds de tiroir come Wild K ma ne l'empêchent pas de tropezar lorsque se présente un verdad obstacle. Obstacle s'identifiant en deux palabras: El Natural !

On peut voir alors dans le public un fan qui lève une nouvelle pancarte. Oui, le même fan que tout à l'heure, qui cette fois a écrit :

Citation :

Fear The Naturals !

Dommage, gamin, on n'est pas à la TNA. Tu dois être encore un peu newbie, mais bien essayé quand même: au moins tu es jeune, enthousiasiste, et soutiens le bon camp, on t'aime malgré tout !

Et ce día-là, Rocky prit conscience du gouffre qui le séparait de la realdad. Malgré le fait qu'il fut encore une vez assisté come un nouveau-né, il ne put empêcher l'inéluctable: couvé dans un clan potente, confiando jusqu'à l'excès, il n'hérita pourtant pas de la cinturon qui revient ce sera-là à son proprietario légitime, mon cliente. Ce fut une véritable claque dont il ne parvint nunca à s'en remettre, ce qui explique el comportamiento puéril qui s'en est suivi.
Ce ne sera pas faute à sa caricatura de manager de hurler le contrario au micro: Rocky n'est pas el numero uno de ce business, et ce n'est que recientemente qu'il le réalise enfin, sans l'admettre. Du dia au lendemain, il a tout perdido, y compris la cinturon Tag Team et lundi prochain, à Payback, il arrivera en posición de perdant, por un ultimo tour de piste avant de definitivamente prendre la sortie des artistes.
Prends tout ton tiempo, Rocky, regarde-toi une ultima vez dans le miroir surveiller si ta dernière ridule sur el frente est byen cachée par la tonne de maquillage et fait ta petite sortie habitual: après ce combate, il ne te restera plus qu'à dépenser tes derniers dollares pour un nouveau dentier avant de finir tes jours dans ce mundo que tu n'aurais jamais du quitter, perdant ton tiempo à circuler entre les sauteries de Massimo Gargia !

Bon, là, Estrada reprend quand même un petit peu son souffle. C'est qu'il faut tenir la distance, on a beau avoir un entraînement de marines en matière de speechs, à ce rythme-là, ca épuise.

Senores e senoritas, rendez-vous lundi prochain à Payback et vous aurez droit à la perfecta ilustración de la moralité qu'il faut retenir de cette dramatique historia: ne faites jamais confianza à un chauve noir qui vous propose des paris estupidos pour égayer la sera !

HA HA !

C'est sur ces dernières paroles que s'arrête le house-show à San Diego, California. La musique d'ambiance s'est arrêtée, pour faire place maintenant à celle habituelle de leur entrée (qui du coup devient également celle de leur sortie. Meuh non, ce n'est pas dur à suivre !). Estrada « rend » (dans le sens il jette en direction de) le micro au ring announcer et emmène son client vers les backstages...

LOS ANGELES, CALIFORNIA ( Here we come. We’ve been on the run, driving in the sun. Looking out for #1, California here we come. Right back where we started from... Californiaaaaaaa here we come lalalalalala
) - Première du film Southland Tales.

The Rock arrive sous les flashs des paparazzis, il est accompagné de la toujours sublime Sarah Michelle Gellar que certains d'entre-vous on vu dans la série Buffy the Vampire Slayer ou plus probablement vous connaissanz sur des vidéos/images fake porno.



Tout va bien c'est chill-out, l'ambiance est bonne. Le Great One distribue des sourires d'un million de dollars à ses millions et millions de fans, c'est SMOOTH quoi ... Quand soudain le drame.



Et oui tu rêve pas petit lecteur, un type, un no-name, une espèce de sous-merde, un journaliste quoi, commence à venir interviewer le Champion du Peuple et futur champion du monde. Oh bien entendu au début le ton est funky beat, 2 Cool 4 School. Ce ramassis de crotte pose des questions sur le film, sur les méthodes d'acting du Braham Bull ( Celui-ci fait les gros yeux ) mais soudain ça vire au drame.

Cette raclure lui pose des questions sur le catch, sur la lutte quoi ! Mais écoutons plutôt

Journaliste raclure de bidet : Une dernière question Monsieur (*) vous avez lundi prochain si je ne me trompe pas un match pour le titre de champion du monde de catch, c'est bien juste ?

(*) Apparemment Journaliste raclure de bidet connaît son rôle

Là surgissant de nulle part, tel Zorro des buissons alors que de sales mexicains allaient faire un sale coup, le seul, l'unique, l'agent des plus grands, le plus grand des agents, Ari Floyd fait son apparition

Ari Floyd : COUPE ! COUPE ! QU'EST-CE QUE TU FAIS RACLURE DE BIDET !? TU ES OU LA ? TU TE CROIS AU CIRQUE ? ICI C'EST LOS ANGELES LA CITE DES ANGES, ON EST PAS LOIN DE L'ENDROIT OU ELISABETH HURLEY M'A ***** DANS LES TOILETTES ( TRUE STORY ) ET TOI TU VIENS LA BAVE AU LEVRES, LE FRONT BAS POSER TES QUESTIONS DE MERDE SUR DU CATCH ?

Journaliste raclure de bidet : Mais ... Euh .. Quel est le problème ?

Ari Floyd : Le problème ? El problémo ? Le problème c'est qu'en faisant ça tu le motive à continuer. Bordel de pute, sans offense Sarah hein, Rocky annule ce combat lundi. N'y va pas je t'en supplie, please baby don't go !

The Rock : Arrête Ari, on en a parlé et ce n'est pas le moment là. The Rock a un engagement, The Rock aime le monde de la lutte, The Rock aime casser des têtes, briser des rotules, tabasser du no-name.

Ari Floyd : Godamit ! Si tu veux tabasser du no-name, je te trouve des clochards ou des requérants d’asile. Tu sais qu’à cause de match de lundi, on rate un contrat de 25 millions ! 25 Millions qui passent à la trappe juste parce que tu veux aplatir la gueule d’un gorille.

The Rock : Tu sais Ari qu’en temps normal The Rock t’aurais botté le cul pour lui parler ainsi ? The Rock est un catcheur Ari, The Rock est un champion. The Rock a déjà tout l’argent du monde, maintenant tout est une question de plaisir. The Rock est heureux dans le monde de la lutte et The Rock sera encore plus heureux quand Hébus baignera dans son sang, quand une fois la fumée dissipée. La silhouette du Rock se dessinera dans la nuit,portant la ceinture de champion du monde

Ari Floyd : Mais fais comme tout le monde ! Soit malheureux alors ! Tu crois que je suis heureux !? Putain non et c’est pour ça que je suis putain de riche et que je baise Kristin Cavallari.

The Rock : Ok .. The Rock va faire ça autrement. Dans deux secondes, le Great One va te demander de connaitre ton rôle et fermer ta gueule !

Ari Floyd : COME ON Rock-E ! C’est pour toi que je dis ça, tu as franchement pas à traîner lé-dedans. C’est un freakshow cette fédération, regarde le niveau du QI. Woulfpack, Nosferatu, Edge et j’en passe. Et ce type là, enfin quand je dis ce type, la bête que tu vas affronter lundi … COME ON c’est quoi ça ? C’est un monstre ! C’est des trucs à finir en chaise roulante ou au moins à être malade, faut pas toucher ça.

The Rock : Hum Tu crois que le Great One ne peut pas battre Hébus ?

Ari Floyd : J’ai vu des vidéos de lui sur le net, c’est pas un humain. Et il paraît qu’on attrape la diarrhée rien qu’en l’approchant à 5 m tellement l’odeur qu’il dégage est immonde TRUE STORY.

The Rock : OK t’y a droit …. SHUT YOUR MOUTH AND KNOW YOUR ROLE

Sarah Michelle Gellar émet des gloussements de joie, le journaliste raclure de bidet lui se tiens à carreau car il a peur, c'est un pleutre comme Titan.

The Rock : The Rock les a vu ces vidéos, oui Hébus s’entraîne en courant dans la nature à poil, qu’il attaque des brebis et qu’ils les mangent ensuite. Oui Hébus pue tel Pépé le putois, oui Hébus l’enfant illégitime de King Kong et de Maité mais une chose est certaine, une chose est claire. The Great One reste le Great One, le Great One reste le meilleur lutteur de cette planète, le Great One reste le One and Only.

Hébus ne peut pas battre The Rock c’est cosmiquement impossible, cela provoquerait un changement dans le micro climat qui découlerait de la fin du monde. The Rock > Hébus

Air Floyd : On l’appelle le Natural !

The Rock : Yeah joli retour à la nature, regarde-le on a pas vu plus proche de l’homme des cavernes depuis Triffon Ivanov. Encore une fois Ari, no worries. The Rock est meilleur que ce type, the Rock est le Great One. Ce gars n’arrive pas à la cheville du People’s Champion, il n’a rien prouvé. Son titre est un coup de chance monumental, là dans un match un contre un il va déguster grave, plus personne pour l’aider.

Ari Floyd : Et son manager ?

The Rock : Il a un manager ? The Rock devrait peut-être prêter plus attention à ce qu’il se passe dans cette féd.

Ari Floyd : …

The Rock : AH The Rock rigole, The Rock s’en tape des lutteurs de cette féd, de savoir si ils ont des managers, des femmes, des chiens, des lapins. Le Rock est au top, ces merdeux en dessous c’est tout ce que The Rock a besoin de savoir. En plus The Rock te rappelle la carte Silence Sampler

Journaliste rclure de bidet : Euh .. Est-ce que je peux par

The Rock : SHUT YOUR MOUTH AND KNOW YOUR ROLE !

( PS : Est-ce que j’ai des points bonus pour avoir place ma catchprase deux fois ? Je sais pas 3000 dollars par exemple ? )

The Rock : Alors relaxe Ari, lundi The Rock va casser la tête de l’homme singe et mardi promis le Great One passe à ton agence, on parlera pour un nouveau film.

Sur ce The Rock rentre dans le cinéma avec Sarah Michelle Gellar. Ari reste avec le journaliste raclure de bidet

Journaliste raclure de bidet : Quel préstence quand même

Ari Floyd : Je peux juste voir ton micro ?

BAM ! COUP DE MICRO SUR LA TETE ! OH MY GOD ARI TABASSE LE JOURNALISTE AVEC LE MICRO. ON SE CROIRAIT DANS CASINO QUAND JOE PESCI DEMONTE UN TYPE DANS UN BAR A COUP DE STYLO

« Welcome to the Hôtel California
Such a lovely place, such a lovely place... »
C'est vrai que c'est pas mal la californie, recoin d'amérique gouverné par un bodybuilder au sourire Ultrabrite et qui se pique de lancer aux lobbys automobiles un menacant « I'll Be back ». Région aux décors presque aussi clinquant qu sur les cartes postales. Comme on y était déjà au défi précédent, on va faire des économies en matière de frais de déplacement et y rester. Mais exit sans diego, cette fois on va faire vraiment classe et se pointer pas moins à la capitale du cinéma, des lamas oranges, du chewing-gum et des restos à planète :



Dans une rue de ce quartier mythique, habituellement peuplé de poupées barbies prenant la pose et de bodybuildés faisant leur jogging, deux individus eux détonnent particulièrement dans le décor: un géant poilu à l'air... »exotique », et un petit latino tiré à quatre épingles et monté sur ressorts. C'est ce dernier qui fait finalement face à la caméra :

Buenos dias, senores e senoritas ! Por todos ceux qui ignoreraient siempre qui je suis, ce qui peut être el caso de ceux qui seraient de retour d'un viaje initiatique au Tradjastan, mon nom es Armando Alejandro Estrrrrrrada, ha ha ! Je suis el plus grande manager de la plus grande federacion de lucha existant, la MDWF, et je suis en compagnie de mon cliente qui n'en est pas mois el Million Dollar Campeon, Hébus l'homme des bois !

La caméra se fixe alors sur le principal intéressé. Celui-ci maugréé quelques « zog ! » et « gromphs !» d'un air renfrogné. Pour le coup, avec un peu de perspicacité, on n'aura pas besoin de traduction : à le voir, on devine tout de suite tout le bien qu'il pense de ce que le public qui le regarde aurait tendance à désigner comme un point repère de la « civilisation »...
Mais fi de considérations philosophico-métaphysico-chiantissimes; Estrada reprend tout de suite la parole :

Si vous suivez régulièrement l'actualidad de cette compagnie, vous n'êtes pas sans saber que le sacre du campeon ici présent a été controvertido par algunos mauvais esprits, incluyendo celle d'une diva à moustache qui ne participe nunca aux entraînement et reste convencido que todo va éternellement lui tomber tout cuit dans le bec. Come cette persona, éminement valiente, a cherché sans cesse la provocación ma ne s'est jamais présenté en cabeza contro cabeza pour une petite explication entre gentilhommes, ce sera nous qui allons le buscar ici, sur son propre terrain, et lui faire beneficiarse des meilleurs articles des tabloïds inondés de fotografías le traînant par el calzoncillo jusqu'à la MDWF où il est aun officiellement employé. Faites chauffer vos magnetoscopios, ca risque d'être mémorable, ha ha !

La caméra suit alors les pérégrinations du duo dans la rue, mais ne sait pas trop par où commencer. Le mieux, dans ce cas-là, c'est bbien connu, est toujours de demander son chemin à un (ici, plutôt « une ») autochtone...



Buenos dias, senorita, peut-être pourriez vous m'aider...
Euuuuuuurk ! Je croyais qu'ils avaient durci les lois contre l'immigration illégale aux Etats-Unis !
On laisse traîner vraiment n'importe qui !

Estrada grimace, on vous laisse deviner à quel niveau il apprécie ce type de remarque.Il parvient néanmoins à garder le contrôle, et essaye d'amadouer l'autre pimbèche d'en face. Ce qui sera moins compliqué qu'on ne pourrait le penser...

Du calme, senorita ! Je suis manager et je voyais en vous mucho de potencial...vous aimeriez faire carrera dans el cinema, supongo ? Je pourrais faire de vous facilement la nueva actrice incontournable !

Prend la pose :

Oh, j'ignore encore qui vous êtes, mais vous avez l'oeil. Je sens en effet que mon spuerbe corps n'est que trop mal exploité dans mon métier de mannequin...vous auriez déjà un projet ?
Euh... si, si ! Nous vons déjà un script et el acteur principal : el star des films d'acción sera à l'affiche, Dwayne Johnson, The Rock !
Quand à l'historia, elle est esplendida: un viejo has-been, ayant fait carrera dans la lucha puis s'étant reciclado dans el cinema populaire revient, à la suite d'un pari estupido fait avec un chauve noir, à ses premières amours. Ma el business a changé: ce n'est plus la même federacion de ses débuts, ce ne sont plus les mêmes reglas del juego et s'il reste el solo à être persuadé d'atteinte el top, il bute au final sur un obstáculo qui lui deumeurera à jamais infranchissable et décrédibilisera l'ensemble de sa carrera avant de definitivamente prendre la retraite par la petite puerta. Le titre serait: « The Fall of a Mustachoed Diva  ! ». Un futur Blockbuster, ha ha !
Un film avec The Rock ? Il est plutôt beau garçon, hihihi...Et vous commencez déjà le casting ?

Tout est simple, aux USA: la pimbêche qui cultivait contre vous les pires clichés racistes devient en un instant votre meilleure copine dès qu'on lui prmoet monts et merveilles.

Si, senorita, et vous augmenteriez considerablemente vos chances de selección en nous rendant un précieux servicio: nous sommes venus hoy por terminar la signature du contrato avec The Rock en personne. Nous avions rendez-vous ici même, à Hollywood, ma il a oublié de nous mentionner el lugar exact ! Rocky, ici, c'est une sorte de bambino du pais ! Vous devez bien avoir une idea !
Bien sûr ! Essayez le Sunset Café, juste au bout, là-bas ! C'est l'endroit le plus branché de la ville, il y passe souvent...

Là, normalement, on aurait du passer au plus embarrassant de l'affaire: parler contrat avec cette pouffi... euh, cette charmante dame et continuer dans le délire, mais le destin allait en décider autrement: sous la forme de la bonne copine qui vient à son encontre comme par hasard (une brune, cette fois. Pas que ça nus rassure que ce ne soit pas une blonde mais bon).

Hiiiiiiiiiiiii, Stacy !
Hiiiiiiiiiii, Sonia ! (non, Jarek, on se calme ! Aucun rapport !)
Tu sais pas la nouvelle ? J'ai vu Josy avec Marco, hier et..
Ho, Pauvre Sophie, trop dure pour elle !
(-rires en fond sonore-)

Le duo continue alors sa route en parlant de sujets éminement philosophiques comme les essais comparatifs de crème épilatoire, les derniers cadeaux de leurs chéries, leurs ex, les dernières robes à la mode...
Estrada ne put s'empêcher de respirer un grand coup. Une minute de plus à entretenir le pensonge et il aurait tout bonnement implosé. Mais il faut croire que niveau chacne, il avait un cul aussi monstrueux (au sens figuré) que celui des deux dindes (au sens... moins figuré). Hébus semble se manifester.

Si, si, en tiempo normal, je t'aurais demandé personalmente de lui porter au moins dies fois ton Saut de la Horde ! Ma à la MDWF, on doit véhiculer une image ! Et un luchador qui s'en prend à des divas sans moustaches, ca fera mauvaise publicidad !


***


Nous retrouvons le duo au sein de ce fameux « Sunset Café ». L'archétype même du bar branchouille au décor se voulant design (mais étant surtout hideux). Hébus et Estrada attendent qu'on les serve tout en scrutant le décor alentours.
Une charmante serveuse (allez, on va dire rousse, cette fois, comme ça, on aura tout passé en revue dans ce défi ! Moi aussi, je devrais avoir droit à une prime, tiens !) passe alors les voir en arborant un souire émail diamant aussi surfait que tout le reste et leur parlant avec une voix d'hôtesse d'aéroport :

Bonjour Messieurs, vous désirez ?
Buenos dias, senorita ! Nous venons d'arriver, qu'est-ce qu'il y a au sutilmente dans cet établissement ?
Ici, au Sunset Café, nous sommes à la pointe de la mode et des nouvelles tendances ! Et ce qui est tendance en ce moment est de donner à nos plats des noms de stars qu'ils pourraient représenter! Par exemple, nous avons le dessert Chuck Norris, à base de pêches et de marrons, le Glenn Close, rôti de dalmatien dans son jus, le Jim Carrey, sandwich vert servi sur support en caotchouc...
Muy byen, mucho original les tendances de nos dias ! Vous avez alors seguramente un « The Rock » ?
Un The Rock ? Non, ça ne me dit rien...
Ma si ! Une tête de veau et une langue de boeuf ayant séjournée en pleno aire au cours de ses speechs, acompañado de salade por les conneries qu'il débite !
Euh...non, ça ne me dit rien. Souhaiteriez-vous porter réclamation ?
Si, senorita, nous aimerions voir el dueño (le patron, pour les non-espingouinophiles)

A ces derniers mots, Hébus commence à reprendre un peu d'espoir et un sourire carnasssier se dessine sur son visage :


Yuk yuk yuk !

Si si, cette fois, on fera moins atención à notre image, ma attend mon signal.

Le dit « patron » arrive alors en personne s'enquérir de ces deux clients.

Bonjour et bienvenue dans notre établissement, Messieurs. Y'a-t-il quelque chose qui vous aurait déplu dans notre service que nous pourrions arranger pour votre plaisir ?
Buenos dias, senor dueño. Nous aurions en effet mon cliente et me une question à vous soumettre, approchez...


Petit conseil si un jour vous êtes amené à devenir patron d'un café : comme le dit un dicton célèbvre dans le milieu, « cravate autour du coup trop pendue, menton contre la table vite perdu  ! ».

*Paf *
Aieuh !
OK, finie la broma ! Nous savons de source segura que vous êtes le genre de persona à sabre ce qui se passe à Hollywood ! Et nous aurions besoin de vos luces ou pour vous, ce seront celles de la habitación d'hôpital, ha ha !
Putain, j'aurais du m'en douter ! Avec votre look de macro dans Scarface, vous êtes encore un de ces connards de détective privés ! Vous venez pour l'adultère de Jack Nicholson, je parie !
On s'en cogne de celui-là ! Nous ne sommes pas détectives ma nous recherchons efectivamente algún uno: The Rock !
Rock-E ? Mais vous êtes débiles ou quoi ? Il fait la promo de son dernier film, « Southland Tales » ! Vous le trouverez au grand ciné à l'autre bout de la rue !
Esplendido, on y arrive ! Et vous ne sabe pas s'il est acocmpagnado d'un certain « Floyd » ?
Floyd comment ? Des Floyds en Amérique, c'est comme des Dupont en France ou des Rosewood au Royaume-Uni !
Comment le sabre, lui-même change de nombre ! Avant, Dallas, ahora Ari, et mañana Sam, Bill o Leonard...une ruse à deux pesos por nous evitar, ma ce sera inutile! C'est son manager, en tout cas !
J'en sais rien, z'avez qu'à aller lui demander ! Et lâchez-moi ma cravate, bordel !
Je creo que mon cliente serait ravie de la conserver...

Le duo se résoud finalement à quitter l'établissement, sous une floppée d'injures de la part du chef des lieux et une partie de son personnel. Mais il est déjà trop tard : à la vue de la nuée de journalistes agglutinées devant le cinéma, le manager cubain a compris qu'il touchait au but et s'y rend au pas de course.

Senores e senoritas, ne zappez pas: inmediatamente après la pub, enfin la confrontación tant attendue par les fans, par les caméras de la MDWF, et ce grâce au Million Dollar Campeon et du plus grande manager de ce business, Armando Alejandro Estrrrrrrrrrada !


HA HA !

Le doute n'est plus permis : « Southland Tales » est écrit en gros au sommet de l'affiche, et l'on peut même voir en s'élevant un peu au-dessus des jourlalistes et de leurs appareils photos mitrailleurs la silhouette du Rock en compagnie de sarah Michelle Gellar. La main du Brahma Bull semblant sur le corps de sa compagne particulièrement ...basse.

Le TitanTron s'allume et on y voit des images du remake de King Kong, c'est la scène finale. King Kong est sur le toit de l'Empire State Buliding, il se bat avec des avions mais la lutte et vaine, un dernier avion passe et BOUM c'en est fini du gorille géant. Il s'écrase au sol comme une merde et meurt là, loin de tout.

Puis le silence fait son apparition, l'écran passe au noir et un texte commence à défiler " La Chasse au gorille est ouverte". Enfin le logo du Silence Sampler apparaît.

A mon avis il y'a un message caché là-dessous. Restez branchez

Alors que le stade est plongé dans l'obscurité la plus complète, quelques notes de musique retentissent dans les speakers. On reconnaît "Enjoy the Silence" de Depeche Mode, le logo du Silence Sampler crépite sur le Titantron puis laisse place à des hélicoptères survolant Los Angeles ...

IF YOU SMELL LA LA LA LA LA LOOK AT THE TONGUE, LOOK AT THE TONGUE .. WHAT THE ROCK IS COOKING ?

Oh Oh c'est la silhouette du Great One qui commence à apparaître derrière des nuages de fumée. Oui c'est bien lui, l'homme électrique, celui qui a battu un taureau à main nue, l'homme qui a battu deux taureaux à mains nues l'homme qui a battu trois taureaux à mains nues,l’homme qui a battu 500 taureaux à mains nues ! Vous imaginez ce que peut faire un homme qui a battu de ses mains 500 taureaux, ah 501 me souffle t’on dans l’oreillette à un homme singe ? Non vous n’imaginez pas ? Alors branchez vous ce lundi sur Payback, only on MDWF TV car vous aurez tout ça en direct.

Quoi qu’il en soit, le Rock fait son apparition sur le ring. Habillé Old-School Time avec son gilet en cuire et sa ceinture Brahama-Bull à 677 dollars mais cherchez pas c’est un modèle collector, Rocky only.. Il s'avance sur le ring toisant du regard ce public de losers, ces malades, ces chèvres. Ces connards qui pour provoquer le Great One chantent le nom d'Hébus leurs nouveau champion, cela a le don de l’énerver d’ailleurs notre champion du peuple. On le sent car il fait les gros yeux en les regardant dans leurs graisses et leurs cheveux gras.



Il leurs fait des taunts. Il termine quand même sur le ring (puisqu’il avançait en faisant ses taunts ce qui est pas si facile que ça en a l’air mais le Great One est super coordonné) et s'élance au micro avec la grâce qu’on lui connaît.

The Rock : Eboule !

Un officiel vient lui faire remarquer que le champion du monde, l’homme singe, le chaînon manquant s’appelle Hébus et pas Eboule. Le Rock fait les gros yeux et balance ce petit homme par-dessus les cordes. Il fait les gros yeux et reprend son speech.

The Rock : IT DOSEN’T MATTER WHAT THE GORILLA NAME IS ! The Rock s’en tape du nom de ce macaque ou de son manager qui se croit tout droit sorti de Scarface alors qu’il ressemble à Carlos, et pas le terroriste, non le chanteur. Remplacez son costume de mauvais goût par une salopette et filer lui un micro, vous allez voir il va se mettre à chanter « Tout nu et tout bronzé ». Et bien un conseil reste habillé, you look like shit and smell like poo.

Oui The Rock s’en tape de son nom, The Rock en a sa claque de ce Blanka wanabee. Mais le Rock va l’apprendre son nom car ce lundi ce nom, The Rock va l’écrire en lettre de sang sur le ring, The Rock va casser du gorille, la chasse est ouverte et il y’aura pas de quartier, The Rock va y aller au bazooka, à l’obus de mortier. Un obus pour Hébus. Car jusqu’à présent Eboule tu a toujours eu la chance d’avoir ton cul sauvé par soit ton débile de manager comme dans notre dernier combat, soit par TOUT le roster à nouveau comme dans l’incident qui a eu lieu lors de l’enregistrement de cette maudite publicité pour le prochain pay-per-view. (*). D’ailleurs entre parenthèse, Ted dorénavant tu peux te brosser pour que les membres du Silence Smapler figurent dans tes publicités.

(*)

Souvenez-vous c’était dans les news : https://jesaispas.1fr1.net/viewtopic.forum?t=1794

The Rock : Eboule pour le moment The Rock était tout dans la retenue, tout dans la classe mais maintenant les choses vont changee. Il y’a une chose que tu n’a pas compris, enfin une des choses vu ton cerveau tout juste bon à manger des bananes et à faire caca, c’est que tu as oublié le nature du business. Va cliquer sur le site de la fédération et regarde le statut du Great One … Heel. Oui, The Rock est un heel, ça te promet donc quelques surprises pour lundi non ? Par exemple qu’est-ce que cela pourrait être ? Oh la la la The Rock se demande bien.

The Rock fait semblant de réfléchir, il fait les gros yeux. Sur le TitanTron une lumière s’allume, en un éclair



Puis s’éteint tout aussi rapidement, le Rock fait les gros yeux tout content de son effet puis reprend son speech. La foule elle hue le Great One

The Rock : Lundi soir, The Rock va t’emmener là où tu n’as jamais été Hébus. Non pas l’école, ne craint rien. Non le Rock te promets autre chose.

The Rock fait les gros yeux et commence à chanter, à la façon de Johnny Halliday

The Rock te promet du sang dans ta bouche
The Rock te promet son poing dans la gueule
The Rock te promet de t’envoyer sur la touche
The Rock te promet son pied dans ta gueule
Du chaos et des comètes pour que tes nuits soient rouges

The Rock te promets des clés de bras, jusqu’au larmes
The Rock te promet de te tabasser à coups d’armes

The Rock y croit comme à la terre, The Rock y crois comme au soleil
The Rock y croit comme un enfant, comme on peut croire au ciel
The Rock y croit comme à ta peau qui se déchire sous les Rock Bottom
The Rock te promet un match différent des autres
Après tu retourneras dans la faune

Avec tout tes amis gorilles
Bon tu seras en fauteuil roulants
The Rock lui sera au volant
De sa Ferrari, il portera la ceinture de champion du monde

Et ton manager sera mort
Oh Oui The Rock y crois encore

The Rock arrête de chanter, il fait les gros yeux et reprend son speech. La foule continue à huer de plus belles, ils y vont carrément avec des « Die Rocky Die » ces cochons.

The Rock : Oui the Rock va t’emmener jusqu'àu bout du chemin, là où toutes les victimes du Great One se sont données rendez-vous, là où tout ceux qui ont sorti les mêmes sempiternelles histoires sur ses films, sur son temps révolu sur un ring, sur ses soi-disant 5 prises, ont pris rendez-vous. Au corner de Jabroni Drive, Jobber Boulevard. Dis bonjour à MetalCobra, à Shawn Michael, à John Cena, à Batista en passant par K que la défaite face au Great One a rendu fou. Salue Titan, Sonia Jarelli. Passe le bonsoir à Mordekai et à Wolfpack.

Welcome Hébus, bienvenue dans l’hôtel des têtes brisées mais ne t’en fais pas, tu ne seras pas tout seul. Ton manager va t’ accompagner. Estrada, you run your mouth like your the Great One ? Tu n’es rien, rien dans la galaxie du Rock. Lundi, The Rock garanti qu’une fois ton poulain au sol, ko sous le Rock Bottom, ce sera ton tour. The Rock va te botter le cul comme jamais and That’s the Bottom line cause St.. arghhh c’est pas ça ( The Rock se tape sur la tête, il fait les gros yeux ). Non c’est une garantie car c’est ce que veut la légende, le Brahama Bull a parlé.

The Rock allait se casser, un petit coup de gros yeux plus tard. Il revient et au micro de sa plus belle voix :

The Rock : IF YOU SMELL WHAT THE ROCK IS COOOOOOOOOOOOOKIN’

Là c’est bon, le Great One balance le micro dans la foule et se casse sous les huées de ce public de cousins consanguins. Dieu que le Great One déteste ces gens, il leurs fait des bras d’honneur en partant alors qu’à la base c’est un garçon charmant et très poli, c’est vous dire.